En termes de simulateurs, certains connaitront les volants sur PlayStation pour se la jouer pilote automobile sur GranTurismo, et nous cavaliers, nous avons, le fameux cheval électrique. Et c’est une entreprise Française, le simulateur équestre Français, qui a mis au point un modèle particulièrement efficace en termes de reproduction du mouvement des allures d’un cheval. Alors l’intérêt n’est pas de tenter un rodéo pour tester son assiette, mais plutôt de justement travailler ladite assiette, et la position du cavalier, de manière générale, sans avoir à s’occuper d’un Caramel qui ne répond pas aux jambes ou développe une phobie pour une chaise en bord de carrière.
Bon en gros, toi petit cavalier, tu as deux solutions : soit tanner ton coach de faire l’acquisition d’un nouveau cheval…un peu plus électrique que les autres, mais sur qui tu pourras bosser ta position de A à Z, soit aller te former directement en faisant un stage ou même en l’organisant dans ta région...ou même dans tes écuries. Car oui, Eric Bonnot, instructeur DE et cavalier pro de CSO, à l’origine de la commercialisation de ce cheval particulier, peut venir te former avec son fidèle ami, toi et tes compagnons de carrière.
Les bénéfices de l’usage du simulateur au quotidien, ou même en stage sont nombreux.
Tout d’abord, pour les jeunes cavaliers, c’est l’occasion d’apprendre les bases d’une bonne position à cheval sans risquer de faire souffrir le dos des gentils poneys en faisant le sac à patate. Ainsi les jeunes cavaliers peuvent prendre conscience de leur corps avant de directement se mettre dans le bain de gérer son corps et celui de son poney. Chaque chose en son temps, diraient certains.
Pour les cavaliers de longue date, c’est aussi le moment de se remettre les idées en place, ou plutôt les sensations. On prend souvent de mauvaises habitudes posturales au fil du temps, et celles-ci s’inscrivent dans nos muscles. Le simulateur permet alors de remettre les choses à leur place et cela sans risquer d’être perturbé par le cheval (qui lui aussi a souvent des petites lacunes d’ici ou là, qui vont perturber notre propre position).
Et évidemment pour les centre-équestres, c’est l’occasion de former ses cavaliers sur de bonnes bases tout en préservant sa cavalerie. De l’apprentissage de l’usage des jambes ou des mains, à la dissociation des aides, tout y passe.
Le simulateur à aussi fait ses preuves dans les processus de réeducation suite à des blessures, notamment du dos. Un centre de réeducation Français près de Rouan en a d'ailleurs fait l'acquisition et l'utilise avec des patients neuro lésés non cavaliers. Il a été ainsi demontré qu'il y avait plus de résultats avec le simulateur que sans.
C'est donc un bon moyen de se remettre en selle suite à un accident, mais aussi d'avoir une approche securitaire en préparant sa position et en évitant ainsi certaines chutes. Le simulateur permet aussi de preserver sa santé en travaillant son dos de façon juste pour limiter les courantes lombalgies des cavaliers, notamment professionnels. C'est ainsi un vecteur de performance pour les cavaliers les plus compétitifs.
Alors si toi aussi tu trouves cette approche géniale, et que tu aimerais vraiment trouvé LA bonne position à cheval, tu peux retrouver plein d'informations pour faire un stage ou en organiser un sur le site http://simulateurequestre.fr . Tu n'auras plus d'excuses pour remonter les talons quand Escalibur se la joue mustang.
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